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Jeunesse et addiction

28 mars 2018

Mon compagnon est accro aux jeux vidéo

Si je témoigne aujourd'hui ce n'est pas pour moi, mais pour mon compagnon.

J’aimerais l'aider à vaincre son obsession de jouer. Cela fait maintenant deux ans qu’il est accro aux jeux vidéo, et plus particulièrement à « Black Ops ».

Vous n’imaginez pas à quel point cela m’exaspère. Au départ, il a commencé à y jouer « juste comme ça ». Mais aujourd'hui, c'est tout le temps. Il passe ses nuits dessus. Il joue avec un copain "en ligne", qui est également son collègue. Les jours où il ne travaille pas, il y passe ses journées. Dès qu’il rentre du travail, il allume sa console, sans même se demander si je veux regarder la télé. Nous avons à peine fini de manger, qu’il la rallume. Et moi, au milieu de tout cela, qu’est-ce que je deviens ? Et les enfants ? Rien.

Lorsque je travaille et qu'il doit garder nos trois enfants, c'est à peine s'il s'en occupe car il est sur sa console. Je l'ai menacé plusieurs fois de la casser, mais cela ne change rien. Il sait que je ne le ferai pas car une console coûte cher !

Je n'en peux plus. Je ne sais pas comment l'aider. J'ai beau lui dire que j'en ai assez, il s'en fiche et me rit au nez. Comment dois-je le prendre ?

Aujourd’hui, on s'éloigne de plus en plus. Pourtant, je l'aime. Vraiment. Sinon, il y a bien longtemps que je l'aurais quitté !

Son meilleur ami ne lui parle pratiquement plus, mais il ne s'en rend pas compte. Il est dans son monde virtuel jour et nuit. Cela devient très rare que l'on sorte en famille. Je me sens rejetée. Lorsque je lui dis que je sors avec les trois petits, il me répond : « de toute façon tu vas toujours traîner ».

Et bien oui. Mais moi je dois m’occuper de tout : le ménage, le repassage, des enfants… Je suis certes une maman, mais aussi une femme, avant tout. C'est à peine s'il me regarde quand il est sur son jeu. En fait, il ne me voit plus. J'ai l'impression d'être transparente.

Il perd tout au fur et à mesure. Il n'assume rien. Surtout pas sa dépendance aux jeux vidéo.

J'ai vraiment besoin d'aide pour parvenir à l'aider. Je ne sais plus du tout quoi faire.

Auteur : Sabrina

Source : http://www.psychologies.com/Couple/Crises-Divorce/Conflits/Temoignages/Mon-compagnon-est-accro-aux-jeux-video

Résumé : Une femme d'un couple témoigne de l'addiction aux jeux vidéos de son copain

Tags : Jeunesse, addiction, jeux vidéos, témoignage

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28 mars 2018

Tabac : des solutions existent

Il n’existe pas de méthode unique ni de traitement universel. Tous les fumeurs sont différents les uns des autres. Le meilleur traitement est donc celui qui est personnalisé et tient compte de la dépendance et des habitudes de chacun.

Les médicaments

- Les substituts nicotiniques

Leur utilisation double, voire triple les chances d’arrêt du tabac à un an. Ils agissent en diminuant les symptômes de manque de nicotine

Quelques précisions :
- Plusieurs formes : patchs, gommes à mâcher, pastilles à laisser fondre ou à sucer, inhalateur
- En vente libre en pharmacie, remboursement de 50 € par an sur prescription
- Possible à partir de l’âge de 15 ans. Envisageable avec précautions chez la femme enceinte et chez le coronarien.
- Si nécessaire, on peut utiliser plusieurs formes de substituts en même temps, fumer avec les patchs n’est pas dangereux mais expose à un risque de surdosage en nicotine (maux de tête, nausées).

Faites vous aider par un professionnel pour trouver le bon dosage et la forme la plus adaptée à votre consommation. La durée du traitement varie de 6 semaines à 6 mois en fonction des personnes.

- Le bupropion et la Varénicline ont fait preuve de leur efficacité pour limiter la sensation de manque. Compte tenu de l’existence de contre-indications, ils ne sont délivrés que sur ordonnance médicale.

- Certains traitements à base de plantes relaxantes ou d’homéopathie existent mais leur efficacité n’est pas prouvée.

Les traitements non médicamenteux

- Thérapies cognitives et Comportementales

Le but est de modifier un comportement ou un système de pensées pour aider le fumeur à ne pas « craquer » pour une cigarette quand il voit un autre fumeur, à rompre avec certaines habitudes, à gérer son stress autrement qu’en fumant.

Les TCC sont largement reconnues par les experts pour leur efficacité dans l’accompagnement de l’arrêt du tabac. Ce traitement est indiqué en première intention en cas de grossesse.
Lien conférence de consensus

- Autres techniques

Il s’agit de l’acupuncture, de la mésothérapie, de la relaxation et de l’hypnose. Ces aides sont complémentaires. Leur efficacité n’est cependant pas validée scientifiquement.

 

Auteurs :

Source : http://www.addictions-auvergne.fr/site/content/tabac-des-solutions-existent

Résumé : Dans cet article, il est présenté des solutions contre le tabagisme.

Tags : Jeunesse, addiction, tabagisme, solutions, lutte, médicaments.

28 mars 2018

Solutions aux jeux vidéos

La première étape indispensable consiste bien sûr à prendre conscience de son addition aux jeux vidéo. Parfois, le joueur sent qu'il perd, ou qu'il a perdu, le contrôle sur sa passion et demande lui-même de l'aide. Que l'on soit de sa famille ou simplement de ses amis, il importe alors de l'écouter avec bienveillance, de le rassurer en lui expliquant qu'il n'est pas seul et de lui dire qu'il peut compter sur nous pour trouver des solutions. Dans d'autres cas, c'est l'entourage du joueur qui tire la sonnette d'alarme. Si les raisons de s'inquiéter sont parfois très angoissantes (résultats scolaires en chute libre, épuisement physique et nerveux...), la dernière chose à faire est de vouloir raisonner, ou pire, de vouloir culpabiliser la personne concernée. Cela ne ferait que la braquer sur le sujet et l'isoler un peu plus.

Que l'on pense être victime d'une addiction aux jeux vidéo ou que l'on ait l'impression qu'un de nos proches est concerné par ce problème, il faut avant tout se renseigner sur le sujet sans chercher à confirmer ou à infirmer notre intuition. 

Si vous pensez que votre enfant ou votre ado est en train de devenir dépendant aux jeux vidéo, parlez-en avec lui sans le sermonner et en écoutant ce qu'il a à dire avec un maximum d'ouverture et de bienveillance. Tâchez de comprendre ce qu'il aime dans les jeux vidéo et les raisons qui l'ont poussé à se consacrer exclusivement à cette activité au détriment de toutes les autres. Intéressez-vous sincèrement à son univers, demandez-lui de vous le faire découvrir. Posez ensuite des limites à la pratique du jeu vidéo (2 heures maximum par jour en semaine ; 4 heures par jour le week-end) et instaurez une véritable dynamique familiale (repas en commun, temps d'échange, activités et projets communs). Encouragez le jeune à pratiquer une activité de groupe susceptible de l'intéresser en dehors de la maison (sport, musique, voyages...). Ne le blâmez pas pour ses échecs, félicitez-le pour ses succès et aidez-le à se construire une image positive de lui-même. Si en dépit de vos efforts, vous ne parvenez pas à faire évoluer la situation, contactez un professionnel de santé (psychologue, psychiatre, etc.) qui saura vous conseiller.

 

Solutions :

Jouez de préférence en groupe, avec des amis ou en famille et essayez de jouer à des jeux différents de ceux qui vous entraînent à commettre des excès.

- Pratiquez d'autres activités susceptibles de vous procurer du plaisir (sport, musique, promenades...). Au début, vous aurez probablement du mal à retrouver des sensations agréables mais il ne faut pas se décourager car petit à petit, vous reprendrez vraiment goût à ce que vous aimiez faire autrefois. La satisfaction sera toute aussi réelle que dans les jeux vidéo.

 

- Améliorez votre estime de vous-même en faisant des choses qui vous semblent utiles et valorisantes. Lancez-vous des défis, faites des projets et tenez-vous y. Prouvez-vous que vous êtes capable d'atteindre des objectifs dans le monde réel et soyez-en fier.

 

- Allez vers les autres même si vous avez l'impression que vous n'avez rien à leur dire et vice versa. Ils ne partagent pas votre passion des jeux vidéo ? Ouvrez-vous à leurs centres d'intérêt ! Redécouvrez autrui dans sa différence et enrichissez-vous à son contact. Même le plus introverti des geeks peut passer d'excellents moments à discuter autour d'une table ou à se promener en ville par une belle journée.

 

- Rétablissez une hygiène de vie acceptable. Il ne s'agit pas de s'obliger à manger que des légumes ou de se coucher à 22 h tous les soirs mais bien de trouver une juste mesure entre la vie déréglée que l'on a menée jusqu'ici et un idéal inatteignable. Pratiquer un minimum de sport, manger à heures régulières et éviter d'aller au lit à 2 h du matin quand on doit se lever à 7 h constituent déjà un grand pas en avant pour l'immense majorité des joueurs compulsifs.

 

- Interrogez-vous sur les motifs qui vous poussent à jouer autant. Cherchez-vous à fuir quelque chose ? Qu'est-ce que vous pouvez faire en jeu que vous ne pouvez pas faire dans la vie réelle ? Quand jouez-vous le plus ? Pour quelle raison ? etc. Il est naturellement conseillé de se faire aider par un psychologue pour creuser ces questions fondamentales.

 

- Ne culpabilisez pas en cas de rechutes. Après des mois voire des années de jeu pathologique, ces dernières sont fréquentes, surtout lorsque survient une situation stressante ou un événement douloureux, mais elles finiront par s'espacer de plus en plus. Lorsque vous prenez conscience que vous êtes en train de glisser, obligez-vous à reprendre de la distance avec le ou les jeu(x) concerné(s).

 

En respectant autant que possible ces consignes, et en acceptant de se faire aider, il sera possible à terme de retrouver une pratique normale des jeux vidéo et de s'adonner à cette passion aussi souvent qu'on le souhaite sans crainte de replonger dans les pratiques excessives et a fortiori dans l'addiction. Le chemin est long et demande beaucoup de travail sur soi mais en se faisant aider et en acceptant de fournir les efforts nécessaires, le succès est assuré.

Source : http://www.jeuxvideo.com/dossiers/00018270/l-addiction-aux-jeux-video-comment-sortir-de-l-addiction-009.htm

Résumé : Voici des solutions et des arguments pour ne plus être addictent des jeux vidéos

Tags : Jeunesse, addiction, jeux vidéos, solutions, prendre conscience

 

28 mars 2018

Monaco Drogue, alcool : des chiffres inquiétants chez les jeunes

Le gouvernement vient de révéler les chiffres tirés d'un sondage effectué auprès de 1318 élèves de la Principauté. L'alcool y tient une large place

Que consomment réellement les jeunes monégasques ? C'est à cette question que le gouvernement a souhaité répondre. La direction de l'Education nationale, de la Jeunesse et des Sports a donc demandé son aide à l'Observatoire français des drogues et de la toxicomanie. Ce dernier a dit banco et a inscrit Monaco dans le projet européen Espad (European school project on alcohol and other drugs). Une enquête qui se déroule tous les quatre ans dans l'ensemble des pays européens et qui interroge de manière comparable plus d'une centaine de milliers d'adolescents.

A Monaco, ce sont ainsi 1 318 élèves qui ont répondu à un questionnaire totalement anonyme, réalisé le 4 avril 2007. Tous les élèves présents ce jour-là ont été interrogés. Comme ils en avaient la possibilité, neuf parents ont refusé que leur enfant participe et un seul élève a dit non.

La consommation d'alcool multipliée par trois entre 16 et 18 ans

Cette première photographie des habitudes de la jeunesse monégasque n'est pas sans intérêt. Alcool et tabac figurent parmi les substances les plus consommées. A la question, « qu'avez-vous déjà expérimenté ? », c'est-à-dire, testé une fois, 96 % des ados de 16 ans et plus évoquent l'alcool et 66 % le tabac. En revanche, lorsqu'on leur demande s'ils en font un usage régulier, le taux chute : 18 % des « 18 ans et plus » reconnaissent boire régulièrement (soit plus de 10 fois par mois).

« Sur tous les produits, les fréquences d'utilisation croissent avec l'âge », note le rapport. Mais le sexe joue aussi. « Chez les garçons, la proportion de fumeurs quotidiens est multipliée par quatre entre 16 et 18 ans. Alors qu'elle n'est multipliée que par 1,6 chez les filles. »

Entre 16 et 18 ans, la consommation régulière d'alcool est multipliée par trois, tout en restant en dessous de celle du tabac.

« Globalement, les ivresses alcooliques sont des comportements masculins. (...) Pour les ivresses répétées (au moins trois dans l'année), les niveaux augmentent fortement avec l'âge chez les garçons, alors que la progression apparaît moindre chez les filles. »

Le phénomène inquiétant, en matière d'alcool, est l'augmentation des alcools forts avec l'âge. Les boissons les plus fortes en degré représentent 69 % des alcools consommés par les plus de 18 ans.

Côté expérimentation des drogues, c'est le cannabis qui tient le haut du pavé. 42 % des élèves interrogés à Monaco déclarent en avoir consommé au moins une fois dans leur (courte) vie. En revanche, la consommation régulière de cannabis n'affecte « que » 5 % des élèves. Autre chiffre qui fait peur : 7 % des élèves (tout de même !) avouent avoir consommé au moins une fois de la cocaïne ! Peut-être le chiffre le plus inquiétant de l'étude, qui pose également la question de l'approvisionnement. Où et comment se procurent-ils ces substances ? Globalement, ces résultats sont comparables avec ceux obtenus côté français. Ce qui indique déjà que les élèves ont joué le jeu. Dans les deux pays, l'expérimentation du tabac (cela peut être une seule bouffée), concerne une majorité d'élèves, et l'usage quotidien un peu moins d'un élève sur cinq. Particularité : si les fumeurs sont plutôt masculins en France, à Monaco c'est au contraire les filles qui sont deux fois et demie plus nombreuses que les garçons à fumer quotidiennement.

Côté cannabis, même rapport filles-garçons, ces dernières consommant plus. Mais il faut noter que les taux de consommation de cannabis sont équivalents entre les deux pays.

Pourquoi cette différence entre filles et garçons en Principauté ? « Les jeunes filles de 16 ans de Monaco déclarent une très grande sociabilité, tente d'expliquer le rapport. 50 % d'entre elles déclarent sortir au moins une fois par semaine dans les cafés ou restaurants. Les garçons seulement 36 %. »

Or des études ont montré le rapport très étroit entre sorties et consommation.

G. L.

Auteurs : G.L

Source : http://archives.monacomatin.mc/article/societe/monaco-drogue-alcool-des-chiffres-inquietants-chez-les-jeunes.34263.html
Résumé : La jeunesse Monegasque est une jeunnesse qui consomme beaucoup et un diagramme à été réalisé pour montrer les chiffres de leurs consommations.
Tags : Monaco, drogues, alcool, chiffres, consommation, substances
28 mars 2018

Alcool et cannabis

Alcool, cannabis : les jeunes sont plus sensibles aux addictions

 

Les consommations d'alcool, de tabac et de cannabis chez les adolescents restent importantes et induisent une dépendance d'autant plus grande qu'ils commencent tôt.

Les adolescents de 17 ans qui n'ont jamais touché un verre d'alcool, fumé un joint ou une cigarette font figure d'exception. A cet âge, près de 95 % des jeunes Français ont expérimenté au moins un de ces trois produits. Tous ne vont pas pour autant devenir dépendants, mais une première expérience positive avec des substances psychoactives peut favoriser des consommations régulières, a rappelé l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) dans une expertise collective publiée jeudi.

Les consommations d'alcool, de tabac et de cannabis chez les adolescents restent importantes et induisent une dépendance d'autant plus grande qu'ils commencent tôt.

Les adolescents de 17 ans qui n'ont jamais touché un verre d'alcool, fumé un joint ou une cigarette font figure d'exception. A cet âge, près de 95 % des jeunes Français ont expérimenté au moins un de ces trois produits. Tous ne vont pas pour autant devenir dépendants, mais une première expérience positive avec des substances psychoactives peut favoriser des consommations régulières, a rappelé l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) dans une expertise collective publiée jeudi.

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5 février 2018

0.1 Définition

L'addiction chez les jeunes est une dépendance très forte (à une substance nocive) entraînant une conduite compulsive, une indépendance à certains produits comme le tabac, l'alcool, les drogues ... etc

Source : Personnel

Résumé :

Tags : Addiction, jeunes, dépendance, substances nocives, produits.

22 janvier 2018

Jeunesse et addiction

Jeunes et addictions

OFDT, 208 p.
Décembre 2016

Quels produits psychoactifs les jeunes Français consomment-ils ? Comment leurs usages évoluent-ils? Filles et garçons sont-ils également concernés? Qui sont les jeunes les plus fragiles ?


L'OFDT fait le point sur toutes ces questions et de nombreuses autres dans Jeunes et addictions. Cet ouvrage décrit les pratiques addictives des 11-25 ans et ambitionne de mieux les comprendre tout en évoquant leurs conséquences. L'étude de ces comportements tout au long de l’adolescence et au début de l’âge adulte est en effet essentielle puisque c’est à cette période de la vie, faite d’initiations et d’expériences, que débutent et s’installent certaines conduites addictives qui perdureront.

Produit sous la direction de François Beck, Jeunes et addictions rassemble les éléments relatifs aux substances licites et illicites ainsi qu'aux addictions sans produit (jeux vidéo, jeux d’argent et de hasard, usages d’Internet). Comme les autres ouvrages collectifs de l'OFDT, cet état des lieux de 208 pages assure la synthèse de nombreuses études menées par l’Observatoire (enquêtes représentatives en population générale, approches qualitatives, observations ethnographiques…) et de données issues de divers systèmes d’information.

Auteurs : L'OFDT (Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies)

Source : https://www.ofdt.fr/publications/collections/rapports/ouvrages-collectifs/jeunes-et-addictions/

Résumé : L'OFDT (Observatoire français des drogues et des toxicomanies) se sont posés des questions sur l'addiction des jeunes aux produits psychoactifs sur les jeunes de 11-25 ans. L'article a été publié en décembre 2016. L'OFDT essaye de mieux comprendre les jeunes au niveau de leur comportement et les conséquences qui suivent car c'est à cette période que s'installe les conduites addictives.

Tags : jeunesse, addiction, OFDT, produits, consommation, psychoactivitée, adolescence

 

 

 

 

 

18 décembre 2017

Sociologie de la jeunesse

La jeunesse est une catégorie aux contours incertains. À quel âge débute-t-elle, à quel âge finit-elle ? La sociologie montre que la jeunesse est avant tout un passage dont les frontières et la définition ont évolué au cours de l’histoire et se modulent selon les situations sociales. L’affaiblissement des rites de passage, l’allongement des transitions professionnelles et la prolongation du temps des expériences qui tendent à repousser toujours plus tard l’accès à un plein statut adulte font que la jeunesse se décompose désormais en plusieurs phases – de l’adolescence au statut de jeune adulte – que ce livre tente de décrire. Devenu un « classique » du sujet depuis sa parution initiale en 1991, l’ouvrage repère et explique les évolutions significatives entraînées par ce mouvement général de recomposition sociale que la jeunesse subit parfois douloureusement. Cette 5e édition prolonge et approfondit la présentation des résultats européens portant sur les jeunes. Elle actualise également l’ouvrage en présentant les travaux récents ayant porté sur l’entrée dans la vie adulte, les valeurs des jeunes, les comportements sexuels et la culture adolescente. Olivier Galland, sociologue, directeur de recherche au CNRS, travaille au Groupe des méthodes de l’analyse sociologique (Université Paris IV et CNRS). Il est spécialiste des questions de jeunesse.

Auteurs : Galland, Olivier

Source : https://www.cairn.info/sociologie-de-la-jeunesse--9782200270087.htm

Résumé :

Tags : Jeunesse, définition

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Jeunesse et addiction
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